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les fanfics d'Aë

Angoisse de la performance (OS)

21 Juillet 2016 , Rédigé par Aësälys Publié dans #OS

Note de cabepfir: C’est juste une petite bêtise qui m’est venue un jour après être passée à la supérette. C’est si petit et bête que je ne me suis pas souciée de le faire bêtaiser : alors soyez prévenu, anglais tordu à venir !

Tout ce que vous reconnaissez n’est pas à moi.

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Aë : Ben la VF est bêtaisée, na ^^

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oOoOoOo

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Angoisse de la performance

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Ok ok ok, alors pourquoi tu me regardes comme ça ? Et pourquoi l’ourlet de ta robe couvre-t-elle partiellement mon pied gauche et fait-il aussi chaud ici, alors qu’on est en février et qu’il doit faire 18° dedans ?

J’étais déjà assez nerveuse sans que tu viennes t’asseoir près de moi, tu sais. J’ai un article à présenter demain matin, si tu n’avais pas remarqué. Tu en es en fait parfaitement conscient, surtout parce que c’est la raison pour laquelle tu es venu ici, et par ‘ici’ je veux dire dans ma chambre, pas au congrès. Ce sera peut-être la quinzième fois que tu parles à une conférence, mais pour moi ce sera une première et j e s u i s t o t a l e m e n t p a n i q u é e. (ET J E S U I S T O T A L E M E N T P A N I Q U É E. ça reflète plus l’angoisse non?) Aë : Ouais mais j’ai gardé le choix de la VO ^^) Tu n’aides pas, en mettant ta main là, juste à 4,2 cm de ma main, Severus. Mon ventre se tortillait, et se tortille aussi maintenant pour des causes sans lien avec la session de demain matin. Pourquoi faut-il toujours que tu compliques les choses ?

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oOo

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« Au nom de Gandalf, Granger, voulez-vous bien vous poser ?

-Vous ne comprenez pas. Demain sera la première fois que je lirais un article à une conférence. Et devant le Professeur Burdačev! Ou le Professeur Santader! Je ne peux pas! Je vais commencer à bafouiller!

-Je n’en reviens pas d’avoir vécu assez pour voir Hermione Granger avoir peur de parler.

-Je n’ai pas peur, je suis terrifiée. Et s’ils me demandent une chose à laquelle je ne sais pas répondre, pendant la discussion ? Et s’ils me cataloguent comme une érudite incompétente ?

-Je vous appelle sans cesse ainsi.

-Oh, mais vous ne comptez pas. Voulez-vous bien vérifier mon article, Severus ?

-Pourquoi devrais-je le lire, Granger ? Pour mon plus grand malheur, je suis déjà condamné à l’écouter demain.

-Sil vous plaît.

-Qu’est-ce qui vous donne l’impression que je me soucie de votre amas de statistiques ?

-Qu’est-ce qui me donne l’impression que vous êtes, en fait, un homme très attentionné ?

-Donnez-moi ce foutu article.

-Il est dans ma chambre, je file le chercher. »

Le fait qu’au lieu de simplement y jeter un Accio, je me sois dirigée vers l’ascenseur pour prendre mon article à la main était une preuve suffisante de ma nervosité, non ? Le fait que Severus m’ait suivie, au lieu d’y jeter un Accio lui-même ou de me réprimander, était une preuve de… quoi ?

D’ennui, oui. C’est ça. Nous sommes arrivés ici hier par Portoloin et n’avons fait qu’écouter les articles des autres conférenciers, aujourd’hui. Il y a soixante-douze participants à Enseigner la Magie, Nouvelles perspectives pour le XXIe siècle, et nous sommes les deux seuls représentants de Poudlard. Je ne connais les noms des autres professeurs que parce que j’ai lu leurs travaux. Severus connaît sans doute plus de monde, mais étonnamment, en dehors de quelques poignées de main, il n’a pas vraiment quitté mon côté depuis que nous avons quitté l’Angleterre.

Ou oserais-je dire, de façon peu étonnante ?

« Nouvelles perspectives ? Envoyez donc les deux plus jeunes professeurs ! » commenta-t-il presque sans mordant, à la fin de la réunion d’organisation avec Minerva et les autres. Nous voilà donc ici, ensemble, au trente-septième congrès de l’Association Internationale de Didactique. Nous y voilà, rejoignant l’étage dans le même ascenseur. Respire, Hermione. Respire. Ce n’est que de l’ennui, non ?

« Granger, vous qui savez tout, je vous en prie, répondez : pourquoi ces conférences se tiennent toujours dans des endroits oubliés de Dieu lui-même ?

-Reggio de Calabre est loin d’être un endroit oublié de Dieu. La ville a été fondée par les Chalcidiens au VIIIe siècle avant JC et a de nos jours environ 180 000 habitants. C’est le lieu de naissance du poète grec Ibycos, tandis que Julia Caesaris Filia, seule fille de l’Empereur Augustus, est morte ici après seize ans d’exil.

-Votre propension à croire que ces notions sont importantes principalement car ce sont des notions, Granger, est si inébranlable qu’elle commence à sembler réconfortante. Julia a été exilée ici exactement parce que c’est une ville oubliée de Dieu, autant aujourd’hui qu’il y a deux mille ans. »

Nous sommes arrivés à mon étage, et je me suis avancée jusqu’à ma chambre, avec l’intention de prendre mon article, de le tendre à Severus et d’attendre la sentence ici, sur le pas de porte. A la place, il est entré dans ma chambre et l’a observée, levant un nez hautain face à mon désordre. Il n’y a qu’une chaise dans ma chambre simple, et je l’ai offerte à Severus tout en m’asseyant sur le lit.

A la place, il s’est assis près de moi sur le lit et un pan de sa robe a atterri sur ma chaussure. Sans s’en soucier, il a commencé à feuilleter les pages. Respire, Hermione, respire. Ce ne sera pas la première fois qu’il dira que ton essai est de la merde.

Ok, Hermione, défais le couvre-lit de ton poing, un doigt à la fois. Oui, c’est la première fois que tu es assise avec le Professeur Snape sur un lit. Oui, demain sera la première dois que tu parleras à une conférence. Un voyage de nuit à l’hôpital pour défaillance respiratoire ne serait pas des plus pratiques. Maintenant. Calme. Toi. Maintenant.

Dedaaans-dehooors.

Ded-hannnn-de-hooor.

Hhhhhh – hhhhhhhh.

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oOo

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C’est donc ainsi que nous sommes allés dans ma chambre, mais alors comment en sommes-nous venus à nous entreregarder depuis sans doute plus de quinze minutes ? Comment peux-tu m’être si avenant ?

Tes yeux sont vraiment très noirs, Severus, avec un éclat de blanc s’y reflétant issu d’une source de lumière non identifiable. Il y a quinze minutes (ou vingt, ou une heure) nous parlions, et tu critiquais mon article, et ce que tu disais était très questionnable et intéressant.

« J’aimerais dire que ‘Apprendre et Désapprendre : Schémas de l’oubli après les vacances d’été parmi les élèves de Poudlard’ est le feuillet d’analyse le plus ennuyeux que j’aie jamais lu, Granger, mais malheureusement, j’ai déjà participé à trop de conférences, et j’ai également écouté les discours d’aujourd’hui. Vous avez utilisé ‘épistémologique’ et ‘herméneutiquement’, ce qui vous qualifie déjà en tant qu’érudite, quelque soit la valeur que vous donniez à l’appellation. Tout le monde vous félicitera, bien sûr, aussi parce qu’ils craignent ce qui pourrait leur arriver s’ils ne le font pas. Inutile de vous inquiéter. »

Tu reposes alors les pages sur la couverture, et ta main vient se poser près de la mienne. Je les fixe, puis je te fixe.

« A combien de conférences avez-vous assisté, Severus ?

-Juste écouté ? Je ne me souviens pas. Parlé? Demain sera la quinzième fois où je lis un article. Je parvenais à écrire un article par an, plus ou moins, avant que les choses… se mettent trop en travers du chemin. »

Ca a été ta dernière réponse, je crois, avant que nous ne cessions de parler et commencions à jouer à celui qui cligne le moins des yeux.

Cet éclat de blanc est mon visage, je le réalise. Curieux, j’aurai juré qu’il était cramoisi.

Je peux me voir me refléter dans tes yeux, et le point blanc disparaît. J’ai finalement réussi à virer au violet, après tout.

Un petit froissement de tissu et ton pouce est sur mes doigts, les caressant en silence.

Oh.

Oh-oh.

Tu sais, Severus, ton nez est vraiment très grand, n’est-ce pas, et plus tu t’approches, plus il a l’air grand, centimètre par centimètre, et est-ce vrai ce qu’ils disent sur les hommes aux grands nez ? Quand je sortais avec Cormac McLaggen, en sixième année, il m’a expliqué la théorie du L, selon laquelle la longueur de, euhm, est inversement proportionnelle à celle de la taille globale de l’homme. Si on fait coulisser le L sur son côté le plus long, on voit que la proportion… Clairement, c’est une théorie inventée pour rassurer les hommes petits sur leur virilité, juste comme ce dicton qui dit que les bonnes choses viennent dans les petits paquets (les Italiens diraient que les petits barils préservent le meilleur vin), et je suis bien sûre qu’anthropologiquement…

Mmmphhh.

Mmh.

Mmmmmmh.

Ah – mhmhhhhhhhhhh.

« Hermione » murmures-tu quand tes lèvres se séparent des miennes, et c’est si doux que mes épaules se détendent, juste un peu. Oh, Zeus, peut-être existes-tu, après tout, et pourquoi laisses-tu cela arriver maintenant ? Maintenant, je veux dire ? Aujourd’hui ? Alors que je ne…

Tu embrasses ma joue, ma pommette, et le coin de mon œil, et alors que le nœud dans mon ventre se défait et se resserre encore, je laisse ma main toucher la ligne de ta mâchoire et sentir les pores de ta barbe pour la première fois. Je trouve alors ta nuque, juste quand tu as décidé d’embrasser ma gorge, et je ferme mes yeux et laisse ma main courir sur tes épaules. Le velours noir de ta robe est très attirant, Severus, il l’a toujours été, mais malgré tout, c’est la chair en dessous qui m’attire le plus, et tu réduis lentement l’espace exigu entre nous. Ta cuisse vient toucher la mienne, et je…

MERDE, mes jambes ne sont pas rasées. Je porte un slip blanc basique et un soutif blanc, très vieux et très confortables. Je suis à une conférence, bon sang.

Ok, maintenant je vais effectuer un très simple sort de rasage et une métamorphose très élémentaire. Où est ma baguette ?

Elle est sur la table basse. Près de la tienne. Merlin, Severus, que nous sommes devenus négligents, après la guerre. La règle n’était-elle pas ‘Garde toujours ta baguette dans ta poche’ ?

Oui, mmmmhmhahhahhhmmmh.

Ok, Severus. Maintenant, continue juste à embrasser ma gorge, ce qui est toujours une expérience très agréable, pendant que j’essaie de récupérer ma baguette. Concentre-toi, Hermione. Accio baguette. Accio baguette. Accio baguette.

Une baguette vole dans ma main…

…Et ce n’est pas la mienne. C’est la tienne. Immédiatement, tu te figes et un froncement marque ton visage.

« Qu’est-ce que ça signifie, Hermione ? »

Je dois sûrement avoir l’air d’un parangon de culpabilité, avec mes yeux aussi ronds que de disques de gêne. Il m’arrache sa baguette de la main et son froncement s’accentue.

« Quel était ton plan ? M’attirer ici et voler ma baguette ? Pourquoi tout le monde est si intéressé par ma baguette ? J’ai déjà été presque tué à cause d’une longue diatribe au sujet d’appartenance de baguettes ! Je suis malade et fatigué de ça ! Ma baguette ne cache aucun secret particulier ! Le monde ne peut-il l’accepter?

-Je ne voulais pas prendre ta baguette, ok ? » J’ai retrouvé ma voix et mon ton s’accorde au sien. « Je voulais jeter un Accio à ma propre baguette, et j’ai terminé avec la tienne à la place, c’est tout! Arrête de toujours jouer les Woody Allen ! Le monde entier n’est pas contre toi ! »

Il plissa les yeux. « Et pourquoi aurais-tu voulu jeter un Accio à ta baguette, je te prie ? Que voulais-tu me faire ? »

Trouve une réponse, idiote, je pense. « Je ne voulais rien faire contre toi, Severus. En fait, j’essayais de faire quelque chose pour toi, sale type ! » Je me relève et agrippe enfin ma baguette. « Tu vois ça ? » Je lève l’ourlet de ma robe et lui montre mes mollets poilus. « J’ai une forêt sur les jambes ! Tu crois que j’ai eu le temps de m’épiler à la cire avant de venir ici ? J’ai terminé de réviser mon article hier matin, juste avant de partir ! Ou crois-tu que je me promène toujours parfaitement apprêtée ? »

Maintenant, tu vas quitter cette chambre et moi avec à jamais et je commence à renifler. Mon visage est probablement taché de rouge et le nœud dans mon ventre est plus serré que jamais. Contente-toi de partir, et laisse-moi pleurer en paix.

« Tu t’inquiètes de ne pas être correctement apprêtée en ma présence » dis-tu.

« Bien sûr » je gargouille. « Et puis mes sous-vêtements sont aussi vieux que ma grand-mère, et je voulais les métamorphoser en quelque chose de moins repoussant » j’ajoute.

Sors, Severus, s’il te plaît, avant que je commence à sangloter comme une folle. J’ai l’impression d’avoir cinq ans.

« Repoussant » fais-tu écho. Puis tu déduis « Tu m’apprécies, Granger. »

Je me contente de te jeter un regard plus meurtrier.

En un mouvement, tu glisses ta robe par-dessus ta tête et te tiens devant moi, pâle et osseux, avec un maillot de laine à demi effilochée, caleçon grisâtre et chaussettes en accordéon. Tes clavicules ressortent sous les bretelles de ton maillot, tes genoux sont cagneux, et des touffes de poils noirs couvrent tes jambes maigres. Quelques grains de beauté sont visibles au-dessus de ton col et je pense en cet instant que je t’aime.

« Tu aimes ça » dis-tu, désignant tes côtes puis ton visage, « et tu crains que je puisse te trouver repoussante. Toi, Hermione.

-Je t’aime » dis-je impulsivement, et ma baguette tombe de ma main au sol. Ti-tlick.

Tu la ramasses et la tourne dans ta main. « Ce n’était pas ta baguette à l’école » observes-tu.

« Ma baguette m’a été prise pendant la guerre, et j’ai dû utiliser celle de Bellatrix Lestrange un moment. J’ai finalement réussi à m’en acheter une autre, juste pour moi, il y a quelques mois.

-Bois de hêtre » notes-tu.

« Bois de hêtre » je confirme. « Avec un crin de…

-De sombral au centre » finis-tu pour moi. Tu presses les extrémités de nos baguettes ensemble, et un frisson de magie se décharge en moi, même à distance.

Tu replaces nos baguettes, uniquement différentes par la manière dont elles sont gravées, sur la table basse, et prends ma main. Tu mêles tes doigts aux miens et amène ma main à tes lèvres pour l’embrasser.

« Tu ne t’opposais pas au fait de me montrer tes sous-vêtements » dis-tu.

« En effet » dis-je.

« Tu es toujours nerveuse ? » demandes-tu.

« J’ai toujours tendance à l’être » je réplique.

« Possiblement as-tu remarqué que je suis moi-même une personne assez nerveuse » dis-tu.

« Vraiment ? » Je souris. « J’ai failli manquer ce détail. »

Tu m’enlaces, tes bras nus sont autour de moi, et à nouveau, je conclus que le sud de l’Italie est insupportablement chaud en hiver. Tes paumes enveloppent mes joues, et une fois encore, je regarde de près ton cher bec.

« J’aurais complètement ignoré ta pilosité, si tu n’avais souligné son existence. Maintenant, je dois dire être assez intéressé par ta… forêt.

-C’est plutôt la Forêt Interdite, en vérité.

-Interdite ?

-Tu peux y aller accompagné d’un professeur, je suggère.

-Ah, vraiment ? Eh bien, nous pouvons nous accommoder de cela. »

Uhmmmm mmmh hhhmh. Ok, c’est à nouveau mmmmhhhm, peu importe le reste.

« J’ai toujours des sous-vêtements blancs » j’halète.

« J’en suis profondément contrarié » grommelles-tu. « Tu vas devoir retirer ces dessous offensants. Si tu le souhaites, bien évidemment. »

Je dézippe ma robe et la laisse tomber au sol. Horreur, il y a même un petit trou sous l’élastique de ma culotte. Je suis en pagaille. Et je n’ai pas même commencé à énumérer mes défauts physiques.

« Je suis complètement écœuré » croasses-tu.

« Je le savais.

-Tu es démente, Hermione. »

Mh.

Mmhh.

Mmmhhh.

Mmmmhhhh.

Mmmmmhhhhh.

Mmmmmmhhhhhh.

Mmmmmmmhhhhhhh.

Mmmmmmhhhhhh.

Mmmmmhhhhh.

Mmmmhhhh.

Mmmhhh.

Mmhh.

Mh.

Oh. Et, Oh.

Oh.

Je veux dire, je ne suis plus aussi nerveuse qu’auparavant.

~FINE~

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Aë: Mon objectif de trad de boucler toutes les fics de cabepfir approche ^^

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Note de Cricri: ça me rappelle mon oral… mais je n’ai pas eu une aussi belle conclusion… C’est tellement dommage!!!

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oOoOoOo

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Notes de sevrogue :

Dedaaans-dehooors. Ded-hannnn-de-hooor. Hhhhhh – hhhhhhhh. (respire Hermione sinon on va devoir appeler les médicomages)

MERDE, mes jambes ne sont pas rasées. Je porte un slip blanc basique et un soutif blanc, très vieux et très confortables. Je suis à une conférence, bon sang. (Hermione, tu le fait express ?????)

En un mouvement, tu glisses ta robe par-dessus ta tête et te tiens devant moi, pâle et osseux, avec un maillot de laine à demi effilochée, caleçon grisâtre et chaussettes en accordéon. Tes clavicules ressortent sous les bretelles de ton maillot, tes genoux sont cagneux, et des touffes de poils noirs couvrent tes jambes maigres. Quelques grains de beauté sont visibles au-dessus de ton col (franchement Aë tu nous a massacré l’image sexy de notre Sevy adoré !!!!)

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Aë : C’est une trad, donc pas ma faute ^^

Angoisse de la performance (OS)
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A
Ça me rapelle quelque chose! Pour mon oral de BTS mes camarades de classe et de covoiturage m'ont gentiment laissé en rade sans voiture ni personne pour m'emmener sur le lieu d'examen (SNCF merci mon train était en retard donc ce n'était point de ma faute). Paumée dans mon internat au milieu de nul part (si si les BTS protection de la nature ne sont pas dans les grandes villes ) mon petit ami de l'époque est arrivé sur son cheval blanc (sa clio bibop quoi...) est nous voilà partis pour 400km ( c'était loin quand même!). Sur place nous ne pouvions pas dormir dans l'internat réservé uniquement aux élèves du coup nous avons du dormir à l'hôtel (tu vois où je veux en venir...). Du coup je peux dire qu'une petite partie de jambes en l'air juste avant un examen ça détend bien (je devais être la seule d'ailleurs!!!). Pour conclure j'ai eu la meilleure note à mon oral le plus gros coef et j'ai eu mon BTS, même si aujourd'hui il ne me sert à rien! Par contre ça fait 14 ans que je suis avec mon sauveur et 2 enfants pour conclure notre bonheur :) Je te remercie pour cette fic qui a des relents de nostalgie, merci pour tout ton travail et gros bisous.
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A
XDDDD
A
Eh eh !!! J'ai bien ri ! Ces poils, une malédiction !!! Thx :)
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A
je t'en prie ^^
Z
Les conférences, ça mène à tout, à condition d'en profiter. Merci pour cet OS !
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A
je t'en prie ^^
C
Rigolo en effet!! Merci Aë
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A
merci ^^
F
Ha ha ! J'avoue que j'ai bien ri en lisant cet OS... Les réalités de la vie courante ^^<br /> Merci Aë pour la traduction !
Répondre
A
je t'en prie ^^