Chapitre 21 ~ Approche

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La semaine suivante, Severus et Hermione reprirent leurs activités habituelles. Hermione travaillait au laboratoire, rattrapant sa semaine de commandes, renouvellement de sorts et recherches pour de nouveaux. Severus terrorisait et maltraitait ses élèves, comme d’habitude, maintenant un haut niveau de sarcasme pour combattre la rumeur répandue annonçant qu’il s’était ‘adouci’ depuis qu’il avait une relation romantique. Cela fit marmonner par certains qu’Hermione ne ‘faisait pas son travail’. Les deux amants se retrouvaient pour le petit-déjeuner et le déjeuner chaque jour dans la Grande Salle, et la trêve hésitante entre Severus et les autres professeurs pendant les repas étaient ré-établies, à leur plus grand soulagement.

Mais chaque soir après les cours, lui et Hermione allaient dans la Salle sur Demande pour s’entraîner aux arts martiaux. Les rôles de professeur et élève avaient disparu, maintenant qu’ils étaient égaux, bataillant dans un but sinistre. Severus était un combattant féroce qui ne faisait pas de quartiers avec Hermione. Elle n’était pas autorisée à porter ses accessoires et devait rencontrer le Maître des Potions à armes égales. Il se montrait meilleur que lorsqu’il l’avait poursuivie. Il gardait aussi bien mieux ses bijoux de famille, non pas qu’elle ait envie d’y infliger des dommages. Elle cessa de se plaindre qu’il la jetait à travers la pièce, puisqu’elle aussi balançait quelques sales coups à Severus. Parfois, ils se collaient corps à corps, luttant pour trouver ou briser les prises, et Severus commençait à sentir monter l’excitation à l’avoir luttant contre lui, sa peau glissante de transpiration, ses seins agités par l’effort. Quelques fois, il la coinçait en position hautement compromettante, où il lui suffisait de tirer là ou déchirer ici pour pouvoir profiter d’elle. Mais il se retenait. Si Hermione était consciente des inclinations de Severus, elle n’en montra rien, restant concentrée, luttant trait pour trait comme une lionne. Il était très heureux de ses capacités. C’était comme si elle suivait son principe de base, celui d’exceller en tout ce à quoi elle essayait son esprit.

Le mercredi, après une profonde discussion tactique, ils décidèrent tous deux qu’il serait préférable de s’entraîner en portant des vêtements semblables à ceux qu’ils auraient durant le week-end. Ils seraient bien plus restrictifs que leurs sweats et t-shirts larges qu’ils portaient pour s’entraîner. Ils devaient donc compenser. Hermione portait des vêtements Moldus hors des terres de Poudlard. Severus portait presque toujours des robes. Hermione arriva pour s’entraîner en robe d’été blanche, très semblable à celle qu’elle avait lorsqu’il avait pris sa virginité. Severus portait ses robes habituelles. Quand il l’observa, il ne put s’empêcher de se remémorer comment il la lui avait arrachée.

« Hermione ! » se renfrogna-t-il. « Nous nous étions mis d’accord sur l’absence de pièges.

-De quoi parles-tu, Severus ? » dit-elle, déposant son sac contenant serviettes et eau contre un des murs.

« Tu portes volontairement cette robe pour me distraire » l’accusa-t-il, désignant d’un long doigt fin le vêtement offensant. Hermione baissa les yeux sur sa robe, puis les ramena sur lui, calant ses poings sur ses hanches.

« Je me répète, mais de quoi parles-tu ? C’est juste une robe, et si elle survit à cette séance, je la porterai ce week-end. Et puis tu m’as déjà vue en robe de nombreuses fois. »

Elle lui jeta un regard noir.

« Severus » reprit-elle fermement, « j’espère vraiment que ce n’est pas de la jalousie.

-Quoi ? » lâcha-t-il, incrédule.

« J’espère que ce n’est pas à cause de la possibilité que des parties de mon corps soient révélées pendant la bataille. Je ne compte pas être pudique en luttant pour ma vie. »

Severus baissa la tête et se frotta les yeux.

« Non, Hermione, ce n’est pas ça » dit-il, semblant vaincu. De toute évidence, elle n’était pas consciente de la similarité de la robe avec celle qu’elle portait en ce jour décisif et érotique.

« Alors quoi ? » demanda-t-elle, commençant à effectuer ses étirements.

« Rien » dit-il sèchement. « Juste… Peu importe. »

Hermione l’observa, haussa les épaules et continua son échauffement.

Après plusieurs minutes, ils furent prêts à se mettre en garde. Toujours distrait, Severus tenta mollement de l’attraper et fut récompensé d’un coup sec du coude à la tempe, suivi d’un mouvement de jambe qui l’envoya rouler à terre. Il bondit sur ses pieds. Hermione avançait en cercle autour de lui.

« Assez joué pour ce soir, Severus » dit-elle avec un petit sourire triomphant. Ca ne dura pas. Severus l’agrippa par le bras, bloqua son coup de genou et l’envoya par-dessus sa hanche gauche. Elle frappa durement le sol, sa robe remonta, dévoilant le haut de ses cuisses avant qu’elle ne vacille sur ses pieds et reprenne son pas circulaire autour de lui. Ce petit aperçu de peau fit durcir Severus. Il tenta de faire baisser son excitation par sa volonté, mais son membre avait son propre esprit. Il soupira et ramena son attention vers Hermione, qui était toujours en position d’attaque.

La bretelle, à son épaule, avait glissé, et la douce courbe de son sein était très apparente, ses cheveux fous et sauvages retombaient sur son visage. Elle les rejeta en arrière, le regard prédateur. Elle avait l’air d’une belle femme sauvage, d’une ménade. Severus tourna d’abord face à elle, puis commença également à tourner en cercle. Hermione plongea, visant apparemment ses robes afin de les emmêler autour de son corps, mais il s’y était préparé et fila de côté, tournant comme un matador avec un taureau, et coinçant son bras autour de sa taille alors qu’elle passait à côté. Il leva du sol son corps coincé contre sa taille comme un ballon de rugby. Sa robe s’éleva jusqu’à sa taille, révélant son slip blanc. Elle envoya des coups de pieds inutiles, le cul dans les airs, saisissant sans résultat son dos et ses jambes. Il baissa les yeux sur son fessier charmeur, et ne put s’empêcher de le fesser. Elle cria son outrage. Il la laissa tomber au sol et s’écarta. Hermione bondit sur ses pieds.

« Faute ! Faute ! » cria Hermione, rougissante.

Severus l’observa calmement. « Hermione, il n’y a pas de faute. Tu le sais.

-Tu n’aurais pas dû faire ça » bafouilla-t-elle, trop furieuse pour argumenter.

Severus arqua un sourcil sardonique. « Tu ne disais pas ça la dern… »

Hermione chargea, l’attrapant à mi-hauteur et l’entraînant durement au sol. Ils luttèrent, Hermione tentant de rouler sur lui pour pouvoir bloquer ses bras, et, lorsqu’elle échoua, tentant de ses jambes autour des siennes. Suivant les instructions de Kingsley, elle utilisa tout ce qu’elle pouvait pour prendre le dessus. Elle mordit son bras et griffa violemment ses mains. Elle voulait s’attaquer à sa gorge quand Severus parvint à écarter la furie de son corps pour la coincer au sol, mais un terrible coup d’occiput contre son front faillit lui faire voir les étoiles.

Il saisit ses poignets au-dessus de sa tête, calé bas entre ses jambes, les siennes écartées largement pour maintenir celles d’Hermione éloignées. Elle lutta mais ne put se libérer. Ils restèrent là, haletants, Severus rejetant occasionnellement la tête de côté pour éviter ses tentatives de coups de tête. Les deux bretelles de sa robe étaient descendues sur ses épaules, et sa robe coincée sur ses hanches. Ses yeux étaient incendiaires, et elle luttait de toutes ses forces sous lui. Severus avait répondu avec force à ses gigotements sous lui, sans le vouloir, et laissa tout son poids lui retomber dessus. Cela la ralentit, puisqu’elle devait lutter pour respirer.

Severus remonta un peu tout en s’assurant de garder les jambes écartées. Il commença à ramener ses bras ensemble au-dessus de sa tête pour pouvoir garder ses poignets ensemble d’une main. Elle tenta de l’arrêter, mais elle était épuisée, et son poids était de trop. Il parvint à serrer ses poignets, ses longs doigts refermés comme un étau. Il descendit son autre main pour remonter l’avant de ses robes.

« Qu… qu’est-ce que tu fais ? » haleta Hermione. « Je suis coincée. Je ne peux pas taper le matelas. J’abandonne. »

Severus ne répondit pas, continuant à remonter ses robes. Puis il se déplaça légèrement, remontant ses hanches, sans rapprocher ses jambes. Il descendit l’avant de son boxer, relâchant sa queue, et remonta jusqu’à ce qu’elle soit contre son entrecuisse. Les yeux d’Hermione s’écarquillèrent et elle leva la tête pour le regarder.

Sans cesser de parler, Severus poussa de côté le tissu sur son entrejambe, et poussa la tête de son membre entre ses lèvres intimes.

Puis ses yeux croisèrent les siens. Leur éclat était indubitable.

« Oh… attends… » souffla-t-elle, avant de gémir alors qu’il s’avançait légèrement pour la pénétrer.

« Oh… merde » lâcha Hermione, laissant sa tête retomber.

Severus commença à s’enfoncer.

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oOo

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« Ca… valait le coup d’aller à Azkaban » gronda Severus contre sa gorge, tremblant toujours, relâchant sa jambe pour la guider vers le matelas. Il caressa gentiment sa cuisse.

« Azkaban ? » demanda faiblement Hermione. Son corps n’avait pas terminé de frémir. Elle releva la main pour la faire courir dans ses cheveux humides.

« Je ne t’ai pas exactement demandé ta permission » murmura-t-il, ses lèvres bougeant contre sa gorge alors qu’il reprenait. « Ca serait considéré comme un… viol dans bien des cercles.

-Oui, mais je pense que pour que ça soit un viol, la victime n’est pas censée aimer ça » répliqua Hermione, sans cesser de toucher ses cheveux.

« Alors, tu as aimé ? Être mise dans une position compromettante ? Qu’on profite de toi ?

-Par toi ? Oui. » Elle expira, caressant sa tête.

Il resta un moment silencieux.

« Je vais devoir m’en rappeler » dit-il tout bas.

« Fais donc ça » souffla-t-elle, plaçant mentalement une nouvelle coche sur la liste de ses déviations.

Severus s’écarta d’elle à contrecœur et revint sur ses pieds. Il baissa les yeux sur elle.

Elle était calée sur ses coudes, ses yeux ambrés fixés sur lui, étincelant du contrecoup. Ses petites lèvres pleines étaient écartées, et les bretelles de sa robe restaient basses sur ses épaules, exposant l’arrondi de ses seins. Ses jambes étaient repliées, toujours éloignées, ses cuisses douces visible, sa robe repliée sur ses hanches. Une aura de sexualité l’entourait si fortement qu’il eut l’impression qu’il pouvait la toucher d’un geste. Il était tellement chanceux d’avoir l’amour de cette jeune femme belle, désirable et légèrement tordue. Il sentit un frémissement sous ses robes.

Severus déglutit, et lui tendit la main.

« Viens » émit-il, la voix rauque. « Nous devons y aller, sans quoi je serais tenté de ‘profiter de toi’ à nouveau. Nous nous sommes assez entraînés pour ce soir. »

Hermione le laissa la tirer sur ses pieds.

Il lui jeta un récurvite, puis sur lui-même, et alla ramasser son sac pour lui tendre une bouteille d’eau. Elle but, assoiffée.

Alors qu’ils sortaient de la Salle sur Demande, Severus l’observa de côté.

« Hermione, pourrais-tu m’accorder une faveur ? » demanda-t-il.

« Quoi ? » répondit-elle, lui jetant un regard curieux alors qu’ils descendaient le couloir vers les cachots.

« Ne porte plus de robe blanche pour l’entraînement… je suis assez… partial avec elles. Je dois rester concentré.

-Pas de robe blanche ? Pourquoi, Severus… » Elle s’interrompit en réalisant. Elle lui lança un sourire en coin. « Maintenant je connais ton point faible. Moi, virginale. »

Il se renfrogna. « N’en porte pas si tu veux pouvoir marcher droit. »

Hermione étouffa un gloussement, et prit son bras. Ensemble, ils revinrent vers les cachots.

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oOo

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« Clink, clink, clink.

Dans la pénombre viciée de la salle arrière de la Tête du Sanglier, Draco Malfoy laissa tomber plusieurs gallions dans la main de la sorcière.

« Assure-toi de leur coller au train et de bien écouter » lâcha Draco à l’attention de la barmaid de Rosmerta, Annadale, qui comptait avec empressement les pièces. « Si tu reviens me voir sans rien de valeur… tu vas vraiment le regretter. »

Annadale l’observa, yeux écarquillés. « Pas vilaine, la garce » pensa Draco, laissant ses yeux parcourir lentement son corps. Il s’avança d’un pas et se pencha pour que son souffle vienne délicatement réchauffer son oreille alors qu’il murmurait « et si tu me satisfais… il pourra y avoir une récompense encore plus… grande. »

La barmaid frissonna. Elle trouvait que Draco Malfoy était le plus beau jeune sorcier qu’elle ait jamais vu. Elle aurait adoré se le faire.

« Oui, monsieur » dit-elle, tremblante d’impatience. Draco se recula.

« Je veux connaître leurs projets pour dimanche. Où ils iront, ce qu’ils veulent faire. Tu penses pouvoir y arriver ?

-Oui, monsieur » répéta-t-elle, hypnotisée par son intense regard d’acier trempé.

« Bien. Je veux tout savoir au plus tard samedi soir. Je me fiche de l’heure. Tu sais où est le Manoir Malfoy ?

-Oui, monsieur.

-Je veux que tu y transplanes, compris ? Quelque que soit l’heure. Les elfes de maison te laisseront entrer et t’amèneront à moi. Maintenant, file. »

La barmaid exécuta une petite révérence et s’empressa de sortir. Dès cet instant, plusieurs hommes masqués entrèrent dans la pièce depuis une autre porte.

« Draco, tu penses qu’il est sage d’utiliser cette salope ? Elle pourra t’impliquer, si quelque chose déconne » lança un des Mangemorts, observant la porte que la sorcière avait prise.

« Ne t’inquiète pas de ça » répondit Draco, le regard froid. « Sa visite au Manoir Malfoy ne connaîtra pas de sortie. »

Il se tourna vers le groupe d’homme.

« Nous n’allons avoir qu’une chance sur ce coup. Je veux les prendre tous les deux, Snape et sa pute sang-de-bourbe. Mais si je ne peux pas, alors nous les tuerons sur place. Tuez Snape directement, n’hésitez pas, mais immobilisez juste Granger. Je veux la tuer moi-même. C’est compris ? »

Les hommes marmonnèrent leur accord.

« Bien. Maintenant, nous devons juste savoir où et quand attaquer. La barmaid nous donnera cette information. Nous devrons ensuite être rapides. Rappelez-vous, pas de magie noire, pas d’impardonnable… cela amènerait les aurors instantanément. Nous allons devoir les submerger, les mettre à terre par la force, comme nous l’avons fait pour les autres cibles. Severus sera un gros morceau. Il sait se battre. Mais Granger est inutile sans sa baguette. Si nous bougeons assez vite, nous pouvons l’avoir avant qu’elle ne la lève. »

Draco eut un sourire cruel en pensant à Hermione, sans baguette et vulnérable, à sa merci.

« Je préférerais une embuscade » dit-il, « mais si nous le devons, nous pouvons transplaner vers leur localisation. Cela attirera plus l’attention que ce qu’on préférerait, mais si nous les submergeons, nous pourrons transplaner avec eux en remorque. Nous réglerons ces détails quand nous aurons l’information. Rappelez-vous de rester disponibles. J’ai besoin de tout le monde. Vous êtes les meilleurs, les plus fervents, et les plus déviants des partisans de notre Seigneur. Par vous, il sera vengé.

-Et mon père » ajouta-t-il mentalement.

Un Mangemort s’avança. C’était Goyle. « Draco, si on ramène Granger au Manoir, on pourra… l’avoir ? »

Draco jeta un regard noir au grand gorille crétin. « Tu penses toujours avec ta queue, Goyle. Oui, tu pourras l’avoir, après moi. J’espère que Snape pourra voir. »

Goyle sourit largement, avant de jeter un regard hésitant à Malfoy.

« Quoi ? » gronda Draco.

« Euh… Alors tu vas retirer le sort… pour que je puisse… tu sais… bander. »

Draco soupira. « Oui, mais seulement lorsque l’heure viendra. Je te fais pas confiance. »

Goyle sourit et reprit sa place dans le groupe.

« Le crétin » pensa Draco en lui jetant un regard noir. Puis il s’adressa au groupe.

« Ok, vous pouvez y aller. Faites attention en rentrant au Manoir. Transplanez à l’entrée de la cave et prenez le labyrinthe. Ne vous perdez pas. J’ai ajouté des trolls et des chiens-garous » sourit-il méchamment. « Ils sont affamés. »

Les Mangemorts acquiescèrent et ramenèrent leur capuche sur leur visage. Ils sortirent en silence comme ils étaient venus, refermant doucement la porte derrière eux. Draco se frotta les mains, impatient.

Le week-end ne pourrait arriver assez vite.

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Note de Ms-Figg : Le conflit approche. Draco s’affaire. Mais il ne connaît pas les nouveaux talents d’Hermione. Tss tss.

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Aë: Alors, la déclaration sur le viol d’Hermione… Ben NON. Le corps a des moyens de défense bizarres et variés, et transformer un viol, censé être douloureux, en plaisir en est un… Bref ^^’

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Note de Cricri : enfin... là ça s'apparente plutôt à un jeu sexuel entre adultes plutôt consentants... il aurait s'agi d'un autre mec... je pense qu'il perdait ses couilles... comme Goyle...

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AndreaPlume : drôle de jeux entre Hermione et Severus, mais bon, si ça leur plaît, chacun ses goûts, tant que ça convient à l’autre…

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Aë : Oui, bien sûr. Entre adultes consentants.

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